Il y a dans dans le jardin de l’immeuble un certain nombre d’humains qui promènent des chiens, à moins que ce ne soit l’inverse.
Toutes les personnes concernées sont de bonne volonté et munies de sacs plastiques destinés au ramassage des excréments.
Mais, qu’observe-t-on si on regarde rêveusement par la fenêtre ?
- Certaines laisses sont longues. Certains chiens ne sont pas tenus en laisse.
- Les chiens ne préviennent pas avant de déféquer.
- Leurs maîtres ne sont pas très concentrés et ne regardent pas en permanence la partie postérieure de leur chien : même si la laisse est courte, ils regardent ailleurs ou échangent leurs impressions avec d’autres promeneurs de chien.
Il en résulte que bon nombre de crottes ne sont pas ramassées. Ce sont les jardiniers qui rencontrent celles accumulées pendant plusieurs semaines, et nous n’avons pas à leur imposer de travailler dans ces conditions.
Un sondage auprès des propriétaires de chiens montrerait sans doute que 98% sont persuadés « qu’ils ramassent ». Ce que nous observons est qu’il en reste beaucoup.
C’est pourquoi nous demandons à tous d’emmener les chiens, tenus en laisse, faire leurs besoins dans la rue (Boulevard Arago, par exemple, où il y a de l’herbe sauvage autour des arbres).
De ne faire que traverser le jardin, sans passer par les pelouses, ou mieux encore d’emprunter la « rue » qui longe l’immeuble côté Nord.